Friday, June 02, 2006

Le dernier souvenir


J'imagine que vous avez déjà rêvez de mort….c’est bien ce qu’il me semblait vous vous souvenez de chaque détails, de chaque gouttes de sang et de vos larmes au réveil.
Mais il y a quelque chose d’encore pire que de rêver de mort……….c’est de rêver de Sa propre mort !


LE DERNIER SOUVENIR !

J'étais sur un îlot depuis ce qui me semblait être une éternité, je ne me souvenais pas de comment ni pourquoi.
Tout ce que je savais était que j’avais froid et faim car qu'il ne restait plus aucune plante sur ma petite île, plantes dont je me nourrissais en fermant les yeux à cause du goût.

Mais soudain je vis de la Terre à à peine 50 mètre au Nord de ma position, je ne l’avais encore jamais aperçue malgré les heures passées à observer les alentours !
Mais sans me poser de question qu’une personne normale se serait posée j’enlevai mes souliers, sans me demander si je n’avais pas rêvée. (Mais la faim me rongeait de l intérieur et décidait à ma place)
Je plongeai alors dans l’immensité liquide ! Je nageai sans faire attention à tous ces dangers qu’une mer peut réserver.

J’atteins enfin cette immense terre. Où se trouvait... comment ça s’appelle déjà ? …. des plaines, oui c’est ça des plaines ça me revient maintenant
Je me dirigeai en quête de nourriture vers ce qui me semblait être un champ car le terre était retournée et il y avait d’étrange trou dans le sol comme lorsqu’on enterre un …un…..un mort, oui un mort, comme quand on enterre un mort.

Au loin je vis un homme, je voulais crier, l’appeler mais je n’avais plus de voix.
Je sentais le danger que sur l’îlot je ne ressentais pas.
Je le connaissais, mais ne m’en souvenais pas, quel était son nom ? Je ne saurais le dire. Mais pourquoi est-ce que je n’osais pas lui demander de l'aide ? L’appeler?
Pourquoi est-ce que je sentais qu’il était dangereux ?

Mon instinct m’ordonnait de me cacher et j’obéis car il arrivait dans ma direction. Sans réfléchir, prise de panique je sautai dans un des trous et me cachai dans une étrange caisse qui s’y trouvait.

Je regardai par un trou dans le bois de la caisse et me sentie transporter.
A peine une minute après j'étais à nouveau immobile, j’osais un coup d œil par le trou, je me trouvais dans une sorte de cabane, deux hommes en sortaient les deux autres jètent un coup d’œil dans ma direction, ce qui me fit reculer de peur qu’ils ne voient mon œil.
Grâce à Dieu Ils ne m’avaient pas repérée. J’écoutai leur conversation durant près de 5 minutes puis je suis soudain tombée inconsciente sous le choc!

******
En me réveillant je constatais que j'étais par terre, attachée. Un des deux hommes me fixait d’un air cruel (lui aussi je le connaissais et très bien même car il m’étais destiné. Notre mariage était arrangé pour le jour de mes 18 ans car notre famille avait besoin de son titre et la sienne de notre fortune, mais aussi pour me punir, mais je ne sais de quoi!)
Quel salopard pensai-je intérieurement car je ne voulais pas….. je ne pouvais pas me montrer faible devant cette raclure.


Car je me rappellais tout maintenant : Nous étions sur le bateau, ma famille et cette ordure aussi. Mais l’équipage ainsi que le Capitaine du navire aider de ce Con (qui me regardait fixement espérant sûrement que je sois effrayée et que je me débatte) nous ont attaqués et jetés à la mer.
J’ai eu plus de chance que ma mère, mon père, mon frère, et mes cousins. Bien que je ne sois pas certaine que ça ait été une chance bien au contraire.

D’un coup ce fou se mit à crier, j’étais trop paniquée et concentrée à ne pas le paraître pour comprendre ce qu’il dit.
Mais brusquement l’autre type entra dans la pièce, Le Capitaine Manrôme, s’agenouilla près de moi et m’embrassa. Mon genou répondit lui-même à cet acte écoeurant Alors il me gifla en me disant qu’il venait de changer d’avis.
Je ne comprenais pas ! Puis il dit à Tom (Mon prétendus futur mari) : « Tue-la !!» Je n’en croyais pas mes oreilles ! Alors Tom s’approcha de moi, tira son poignard et ………….. "STOP !!!"Cria le Capitaine.
Il se pencha à nouveau sur moi, ce qui me fis reculer de peur qu’il ne recommence le cirque de tout a l’heure, il me prit la tête dans ses mains et me chuchota à l’oreille : « Je te laisse encore le choix Vivre ou Mourir ? Vivre avec Moi ou Mourir sans personne ??? »
Je lèvai alors les yeux vers lui et lui dis : « Vous n’avez pas d’autres choix ? Non ? C’est, si j’ai bien compris, soit mourir, soit vivre pour mieux se suicider après ? »
Il mis du temps à comprendre qu’aurait été la cause de mon suicide ! Puis (qu’en il eu enfin compris) il haussa les épaules et partis sans même se retourner.


Tom leva son poignard et je ressentis une immense et indescriptible douleur à l’abdomen !
L’enfoiré il n’avait même pas visé le cœur.
Mais d’un coup la douleur laissa place à une ineffable chaleur qui se propagea dans tout mon corps et malgré que je me sentais partir un dernier souvenir me revint: Je n'avais pas pu la sauver je n'avais pas pu protéger mon enfant. La fille née d'un amour interdit et pour lequel j'avais été punie!
C’est alors que je m’endormie pour un sommeil éternel.

Fin

Commentaire :

C'est un rêve que j'ai fait il y a de cela des années. Je l'avais tout de suite noté sur mon calpin pour m'en souvenir. Il m'avait fait assez flipper mais comme je le raconte(sans les images) ca ne se voit pas (qu'il est effrayant...)!

J'ai hallucinée...les fautes d'orthographe...de concordances des temps, de grammaire qu'il y a dans ce texte (que j'ai à peine relue ce soir, mais il est très tard et donc j'en ai laissée passer pleins d'autres...mais en relisant le texte publié y a 3 ans à peine, j'ai eu honte...mais HONTE!)

L’appel de la nature

L’appel de la nature
ou
L'ignorance des Hommes.
L’appel de la nature
Cette voix si mature
Qui s’élève dans le ciel
Une voix, douceur de miel
Un appel au secours
Des beaux arbres le jour.
Un appel malheureux
Craignant un adieu.
Car les hommes insouciants,
Blessent délibérément.
Pensant d’un faux air fier
Qu’eux seuls sur notre Terre
Possèdent l’intelligence
Et ont de l’importance.
C’est sans compter le vent :
Sa force, son rugissement.
Sans compter la terre :
Sa gloire éphémère
Sans parler de l’eau douce :
Faisant grandir les pousses.
Et en oubliant le feu
Qui consume leurs aïeux
En éparpillant les cendres
Dans le ventre de la Terre.
Ils méprisent les animaux
Mais sans euxn quelle bande de sotsn
Ils n’auraient de quoi survivre,
Ils n’auraient plus de vivres.


La force de la nature
C’est d’avoir le contrôle,
Sans paraître plus mature
Que ceux qui la frôle.
Commentaire :
Arfouille, je viens de le relire!
J'aime!
C'est tout...
Et pour une fois que j'aime bien ce que j'écris...
Quoi que je dis ça, mais y a plusieurs textes que j'aime de moi...comme quoi, tu as vu Arwen (si tu passes un jour^^) je m'améliore!

L’ironie du lycée

L’ironie du lycée


Quand t’es dans un collège malfamé
Que toute ta vie t’a côtoyé
Des personnes de la cité

Ta envie que d’une chose
Te casser loin de cette psychose
Te casser vers une terre close

En gros te tirer au lycée
Arrivé là tu te dis qu’est ce que j’y fais ?
Tu regrettes le temps passé à déconner

Mais en regardant bien tu prend conscience
Que le lycée c’est une réelle chance
Que tu sois littéraire ou plutôt sciences

Personnes ne te juge sur ton apparence
Personnes regarde ta provenance
Tes défauts ne sont pas mis en évidence

Tu es tel que tu veux être
Sans faire attention a ton paraître
Le lycée c’est la liberté des êtres !!!

Commentaire :

Ecris en même temps que L'Art, poème précédent.
Ils étaient tout deux destinés au journal du lycée...mais concours de circonstances merdiques, ils n'y sont jamais allés!

L'Art


L’art


L’art est un mot, mais aussi une façon de penser
Une façon de voir les choses différemment
Une façon de ressentir la vie poétiquement
Et de remplir nos sens d’un bonheur si présent


Un bonheur présent dans chaque chose
Celles qu’on dit « Laides » mais aussi les plus belles
Celles qui nous font du bien comme celles qui nous sont cruelles
Une beauté sincère et immortelle

Une beauté que chacun voit
Comme ses yeux la lui transmettent
Sans qu’ils n’aient à réfléchir pour émettre
Au cœur la beauté d’un océan

Un océan d’eau mais aussi de larmes
Un océan de lumière comme un océan de sang
La beauté est partout même lorsque ça parait répugnant
Lorsqu’on ouvre notre cœur et notre esprit a ce qu’on ressent

L’art est un mot et une façon d’agir
Lorsque vous chantez, riez ou simplement courrez
C’est une forme d’arts cachés
Dont seul les yeux avisé connaissent la beauté
Commentaire :
Ecris en début de seconde...

Le dernier jour

Le dernier jour

Ils se réveillent, ils se regardent.
Comme elle est belle et lui si sage.
Rien ne pouvait laisser croire un tel présage.

Il était là, toujours pour elle
Mais ne savait pas quelle vie elle mène.
Elle, qui lui a donné des ailes
Mais même le meilleur devin
N’aurai pu prédire son destin.
Il aurait pu chercher, mais en vain

Elle dissimulait ses sentiments,
Elle voilait aux yeux de son amant
Se qu’on ressent lorsqu’on est différent.

A son boulot ou même dans la rue,
On entend partout les gens qui la huent.
Elle continue, n’ayant que faire des inconnus.

Mais un jour elle a craqué.
Lorsque son amie l’a trompé,
Elle s’est sentie trahie…manipulée.

Qui aurait pu l’en blâmer ?
A son amie elle avait tout donné :
Son temps, sa confiance, son amitié.

Elle aurait pu vivre cent ans
Sous des traits différents
Qu’elle n’aurait pas souffert autant.

Si les gens l’avaient aimé !
S’ils ne l’avaient pas jugé !
Peut être que son destin aurait changé ?

Elle a pris soin de cacher
A son amour, toutes ses pensées,
Pour ne pas le laisser deviner

Elle est en pleure en écrivant.
Elle voudrait faire différemment.
Mais elle a souffert si fortement.

Elle lui écrit tout son amour.
Elle dit qu’elle l’aime pour toujours
Et qu’il ne doit pas culpabiliser pour ce jour !

Elle pose le stylo doucement.
Se dirige vers la cuisine inconsciemment.
Et met fin à ses souffrances brusquement.





Commentaire :
J'ai voulu faire passer un petit message, que les gens tirent une morale de ce poème.
Cette morale c'est la tolérance.
Mais, écrit en seconde, par une fille pleine d'espoir en la capacité des êtres vivants à faire le bien lorsqu'on le leur montre.
Je suis à présent assez pessimiste sur la question, je crois que la connerie humaine surpasse tout.
Alors je vous épargne tout le blabla moralisateur... vous savez déjà tout ça!

Mon coeur se fend


Mon coeur se fend

Mon coeur se fend
Encore une fois
Tant de tourments
S'abattent sur moi
Je me débats péniblement
Mais mon coeur ne peux pas
Je me noie doucement
Nager?...je ne peux pas!
Comment faire à présent?
Je tombe en bas
Je souffre vraiment
Je meurs je crois
Mon coeur est en sang
Je meurs je crois
Mon coeur se fend




Commentaire:
J'ai écris ce poème après une des destructions de l'île... y en a eu tellement que je me mélange tout... je ne sais même plus après laquelle précisément.
Est-ce que ça a de l'importance après tout?
Je trouvais la vie tellement injuste... je ne me doutais même pas que ce serait un maux pour un bien.

Le chant d'une sirène

Le chant d'une sirène

Personne ne sait ce que ressent
Une personne seule dans l'océan!
Sans pouvoir pleurer
Sans pouvoir s évader
Elle espère calmement
La douce sirène dans l'océan!

Elle ne peut s'exprimer
Que par sa voie voilée
Par l immensité bleu
Sans accès aux cieux
Ni même a la terre
Et elle ne sait plus que faire

Si vous l'écoutiez
Si vous la compreniez
Jamais plus vous ne pourriez
Vivre heureux comme vous le souhaitiez
Car sa douleur n'a pas de précédant
C est une sirène seule dans l océan!

Elle ne peut s'exprimer
Que par sa voie voilée
Par l immensité bleu
Sans accès aux cieux
Ni même a la terre
Et elle ne sait plus que faire

Elle ne peut s’exprimer
Que par sa voie voilée
Par l'immensité bleu
Sans accès aux cieux
Ni même à la terre
Et elle désespère
Commentaire :
Je me rappelle, j'avais fais ça en seconde, c'était pour la "Coupe" de l'Île!
J'étais la seule à représenter Hobbiton, alors je me donnais à fond pour essayer de lui faire gagner le plus de points.
Si elle n'avait pas été annulée, je ne sais même pas qui aurait gagné... et ça n'avait pas d'importance, les épreuves étaient toutes amusantes!
Normal puisque nous étions les profs, les cours étaient nos oeuvres, et les devoirs étaient simplement un prétexte à la création d'autres oeuvres. (pense surtout aux poèmes d'Undy)

Je peux compter sur toi.


JE PEUX COMPTER SUR TOI

Il ne sait pas d’ou il vient,
Je l’aiderai à trouver son chemin.
Quoi qu’il arrive quoi qu’il advienne
Je serai là et lui de même.
Nous resterons unis
Bien plus que des amis
Nous pourrons marcher,
Sans jamais nous inquiéter
De l’endroit où on ira,
Celui où on se rendra.
Car nous serons ensemble.
Mais il me semble
Que la terre ne supporte plus
Les fardeaux qui sur moi ont plus.
Comme si je n’avais pas
Assez de malheurs comme cela,
Pour que la mort vienne me prendre.
Mais surtout faut pas te méprendre
Elle ne m’aura pas
Tant que je serai avec toi.
Je t’aiderai à porter tes ennuis
Tu me chaufferas dans tes bras la nuit.
C'est cela l'amour....je crois !
Si j’ai besoin un jour de toi,
Je peux être sur que jamais tu ne m’abandonneras,
Car pour toujours tu m’aimeras
Si c'est ça l'amour pourvus que ça dure
Toute une vie jusqu'a devenir mature
Pour finir : je t’aime,
Grâce à toi il me pousse des ailes.
Ne pleures pas, ne t’inquiète pas
Je ne pars pas vraiment loin de toi.
Ma respiration se fait faible, ne pleures pas
Mon âme me quitte pas à pas.
Je t’aime, amour
Je t’aime, toujours !
Commentaire :
Un poème extrêmement ancien aussi...
Je sais pas tellement ce qui me gène avec lui...je ne l'aime pas vraiment.

Tuesday, May 30, 2006

La Solitude.




LA SOLITUDE


La solitude c’est un sentiment que j’ai connu longtemps



L’amertume à cette époque là accompagnait toutes mes joies



Elles n’étaient pas nombreuses et souvent simulé



Un rire forcé, un sourire exercé pour paraître sereine



Mais je ne l’étais pas, pleurais en cours parfois



Sans savoir pourquoi, ni comment, la tête dans les bras, brusquement.



J’ai cherché à le cacher mais même sans ça, ils seraient tous restés froids



La nuit, dans mon lit, étouffés par un oreiller des reniflements s’échappaient.



Je ne sais comment, je ne sais pourquoi je voulais partir, fuir



Tout plutôt que de retourner là bas et l’affronter encore une fois



La pire ennemie de l’être humain, pire que tout, pire que rien



On peut vivre avec tout, avec rien, pourvus qu’on ait quelqu’un.



Car la solitude est pire que la mort



Car la solitude est bien pire que tout



Même la plus misérable des vies

Commentaire:

Souvenir d'une année de 5ème...
Une année qui, on peut le dire, aura sacrément forgé mon caractère, mon endurance à la mesquinerie humaine, et m'aura simplement ôté quelqu'à priori sur l'âme humaine...
Mais dans ma grande miséricorde, j'ai pardonné...mais je n'ai certe pas oublié...jamais!

On oublie pas la trahison, la solitude, le désespoir, la jalousie, les commentaires acerbes, les imbécilEs, Kathleen, on oublie pas tout ça!

L’ange de la mort






L’ange de la mort
***
**
*


Elle se sentait bien.

Elle n’avait guère plus froid.

Elle se sentait bien.

Le cœur léger, le corps léger aussi. En fait elle ne le sentait plus. Elle ne ressentait plus aucun des obstacles empêchant depuis si longtemps son âme d’être en paix.

Elle se sentait bien…..enfin !

Peut importe le passé, elle était à présent libre de ne plus exister.

Elle avait tant souffert ! Blessures morales entraînant blessures physiques. Douleurs physiques entraînant douleurs morales. Un cercle vicieux, une horreur sans nom : sa vie !

Elle avait tant souffert !

Mais à présent tout cela ne comptait plus, elle se sentait bien.


-
*
-


Elle ne se souvient plus très bien de ce qu’elle a fait. Elle ne veut pas se rappeler ce qu’elle s’est faite.

C’est trop douloureux !

Et l’état dans lequel elle se trouve ne laisse aucunement place à la douleur.

Elle est sereine. Elle se sent bien ! Une chaleur ineffable s’est emparée de son « être ».

Elle n’a plus aucune enveloppe charnelle mutilée par ses propres soins. Elle ne sent plus ses poignets tailladés. Elle se sent bien un point c’est tout.

Pourquoi faudrait-il qu’elle se rappelle toutes ces nuits passées à pleurer un couteau dans la main, une sucrerie dans l’autre ? Pourquoi faudrait-il qu’elle souffre même après la vie ?

Il ne le faut pas !

Surtout pas !

Elle a bien mérité de se sentir bien durant quelques instants.


Car bientôt elle souffrira encore, plus fort, longtemps, si longtemps. Sa misérable vie va revenir en elle. Elle retrouvera son enveloppe charnelle. Et son esprit non plus serein mais meurtris lui reviendra en même temps que la vie.

Elle va maudire ceux qui vont la ramener. Ils ne comprennent pas ! Elle va bien, très bien. Elle a toute sa tête. Elle savait très bien ce qu’elle faisait avec ces médicaments. Elle le savait pertinemment. Mais ils n’entendent rien, ne veulent rien entendre. Ils font leur travail : ils sauvent des vies. Mêmes si ces vies désirent le moins du monde la vie, si elles ne désirent pas être sauvées.

C’est si injuste !


-
*
-


Bientôt elle ne se sentira pas bien. Elle va à nouveau tant souffrir ! Elle aurait préféré mourir.

Elle Voulait mourir !

La mort est si douce, la vie cruelle. Elle va tant souffrir !

Encore bien plus qu’avant.

Elle ne le sait pas encore ! En ce moment, elle ne voit pas tous ces médecins qui s’affairent autour d’elle.

Elle ne voit pas son père jurer contre elle. Elle ne sait pas que cet acte désespéré tenté pour se protéger de lui et de ses coups n’a fait qu’accentuer sa colère, sa rage. Elle ne sait pas que dès qu’elle rentrera « chez elle » il se remettra à boire, à la frapper, à l’insulter, à lui faire du mal.

Elle ne le sait pas.

Elle ne sait pas non plus que le fait qu’elle se sente si bien en ce moment même ne fera que rendre plus insupportable la douleur du monde réel.

Elle ne sait pas qu’elle va bientôt souffrir comme jamais. Sa meilleure amie va s’en aller, une autre trépasser. Elle va être déchirée et souhaitera à nouveau mourir, plus que jamais. Mais le souvenir de son père ne lui fera rien tenter de nouveau. Elle sera meurtrie par la vie, tout au long de celle-ci. Et elle ne pourra rien y faire.

Subir ! Subir les assauts de l’existence sans échappatoires.


-
*
-


Elle est à présent allongée. Je ne peux intervenir, je n’en ai pas le droit. Pourtant j’ai si pitié. Pourquoi ne puis-je pas la prendre ? Maintenant ?

Je suis ange de la mort mais je ne peux la retirer du monde des vivants.

Pas maintenant…..pas encore.


Mais sa souffrance passée et futur fait couler une larme le long de ma joue. L’ange de la mort ne pleure jamais. L’ange de la mort n’a pas pitié, l’ange de la mort ne ressent pas ce genre de sentiments. Pourtant ange de la mort je le suis bien et peiné par le destin terrible de cette enfant je ne puis que l’être.
Alors je transgresse toutes lois de la nature. Je bouleverse l’ordre des choses. Je la dérobe à ces médecins. Je lui prends son âme avant qu’elle ne soit à nouveau hors de ma portée. Elle ne souffrira jamais plus. Elle se sentira bien….à nouveau….pour l’éternité !

FIN
Commentaire:
J'aime énormément ce petit texte en prose.
Je ne sais pas pourquoi mais, j'avais envie de montrer que parfois...parfois...
Je ne sais comment expliquer. Mais certaines l'ont bien vu, bien compris.
Rien à ajouter je pense...
Le style reste encore ici fragile, mais j'étais sur la voie...

La Pluie


LA PLUIE



Je suis assise en tailleur. J’écoute de la musique et je chante en même temps. Je cherche un sujet sur lequel écrire. Une histoire à raconter. Un thème sur lequel laisser mon imagination déborder. Mais je ne trouve pas !

Je me lève et ouvre en grand mes fenêtres. Je respire à fond. J’aime l’odeur de l’air lorsqu’un orage vient juste d’éclater. Les oiseaux sortent de leurs abris et les nuages gris peu à peu s’en vont, chassés par le vent.


Je me rassois au sol. Je ne sais pas pourquoi mais malgré le fait que j’ai une chaise, un tabouret et même un lit sur lesquels m’installer, je finis toujours à terre.


Oh ! Il recommence à pleuvoir. Rien à voir avec les trompes d’eau d’il y a peu, cette pluie est fine. Je la vois à peine à vrai dire, je l’entends. J’arrête la musique pour laisser ce bruit m’envahir...trop tard ! Tout ce que j’entends à présent sont des éclats de voix, une fête sûrement, et le grondement lointain d’un avion.

La pluie à nouveau !


J’aime tellement la pluie, j’espère qu’elle ne va pas s’arrêter de si tôt ! Elle est mon lien avec la nature. Lorsqu’elle coule du ciel, je me sens sourire bien malgré moi en pensant que ces gouttes sont telles mes larmes. Elles gênent la majorité du monde, mais moi, elles me font du bien. Pourtant mon amour de la pluie a débuté bien avant que mes larmes ne deviennent purificatrices, apaisantes et délivrantes.


J’aime la pluie depuis toujours ! Les arbres aussi...surtout lorsque leurs feuilles mouillées brillent à la lueur des rayons du soleil.

En fait j’aime tout de la nature...lorsque l’homme ne s’en mêle pas. Tout est beau pourvu que l’espère humaine ne pervertisse pas les choses les plus pures qui soient.L’eau ! L’eau sous toutes ses formes est sale et impure. Même la pluie ! Mais ça ne m’empêche pas de l’aimer toujours, la pluie n’a pas choisit d’être polluée, des fois carrément acides. La pluie n’a rien demandé à l’homme, seul vrai fautif. Ou plutôt si, elle lui a demandé quelque chose qui ne lui fut pas accordé.
La nature elle-même à quémander grâce à son bourreau l’Homme.

Mais l’homme écoute t-il le cri désespéré des ouragans ?
L’appel des inondations.
Les rugissements de colère des tornades ?
Les larmes diluviennes du ciel ?
La plainte des raz de marrée ?
L’indignation des volcans ?
Les tremblements de notre terre ?

L’homme écoute certes, l’homme entend même.

Mais l’homme s’en fout !


L’homme est trop imbu de sa personne.
Il pense la Terre éternelle en sachant pertinemment qu’elle se meurt et ce de part sa faute, son inconscience, son insouciance.
Et la part de ceux qui veulent changer cela ne peut rien, absolument rien changer, rien faire bouger. Ceux qui le peuvent n’ont qu’un mot à la bouche : pouvoir !

On n’obtient pas le pouvoir grâce à de bons principes.
La vérité est celle là et ils l’a connaissent, ils l’ont crée, l’ont façonnée à leur image : pervertie.
Dans la nature tout est tellement plus simple...plus juste aussi.


La nature n’a faite qu’une seule erreur=>L’HOMME !



THE END

Commentaire:

Vous avez un dessin signé par moi en prime!
Non mais sérieux...Je me souviens de cette soirée où j'ai écris ce texte.
Je pense toujours chacun des mots écrits.
Et je me compte parmi ce "Homme"...moi aussi je ne suis qu'une erreur de la Nature, comme mes propres amies...

Seulement, j'ai appris depuis que certaine erreur ont du bon!

BAC





""Je me sens bizarre, je ne saurais même pas décrire ce que je ressens.

Dans quelques jours les pires épreuves du bac vont arriver et je n’arrive toujours pas à me concentrer pour réviser sérieusement. C’est peut être que je pense trop aux vacances au Maroc, au temps où je n’aurais plus aucun soucis à part celui de savoir ce que je vais faire de ma journée.

C’est peut être aussi que je pense trop à la chose à laquelle je ne veux pas trop penser. C’est comme le stress : je ne stress pas consciemment et bien j’ai pas vraiment l’impression d’y penser mais j’y pense quand même !

En fait j’avais pas tord en disant à vanesse qu’il y a des choses auxquelles on ne pense pas mais qui font parties intégrantes de soi. C’est bizarre à dire mais c’est comme ça. Mais ça bouffe mon espace vital en quelque sorte. Et ça m’énerve de rien pouvoir faire.
C’est la même chose quand t’en a marre tout le temps et tu t’en rend presque plus compte tant c’est démoralisant d’y penser et tu te mets ton « ras le bol » dans un petite tiroir au fond de toi et tu l’y enferme à double tour.

Mais comme y’a rien sur terre de plus vicieux et méchant que les pensées torturantes. Parfois elle se débrouillent pour sortir-je ne sais comment- sans faire de bruit arriver jusqu’au niveau de la tête et là elle t’explose bien dans la figure encore plus fort que la dernière fois.
J’aimerai tellement que ce soit comme sur du papier ou tu pourrais effacer, déchirer ou brûler."" (Texte écrit par ma soeur)




JE TROUVE CE PETIT TEXTE SUPER MARRANT
Je m’explique avant qu’on m’envoie des tomates à la gueule.

C’est ma sœur qui a écrit ceci il y a maintenant plus de 3 ans.
Son Bac c’est super bien passé malgré tout son stress. Elle bouffait comme pas possible je m’en souvient encore. Elle allait dans le salon pour réviser et elle préparait ses vivres. Des chips, gâteaux bonbons ou bien simplement bouffe normale.
Enfin bref déjà un point.
Mais celui que vraiment je voulais énoncer c’est sa dernière phrase : « J’aimerai tellement que ce soit comme sur du papier ou tu pourrais effacer, déchirer ou brûler ». J’ai retrouver le morceau de papier dans lequel elle avait écrit cela, sûrement pour alléger ses pensées, je le fais souvent ça doit être de famille, dans un album photo.
Je l’ai retrouvé récemment alors que ça fait tout de même plus de trois ans qu’elle ‘la écrit.
Ca prouve que vraiment y a des choses qu’on ne peux jamais effacer car la je vais le mettre en ligne et ça restera sûrement très longtemps.

Maintenant je voulais mettre ça en ligne car c’est les paroles VRAIES d’une fille qui panique parce que c’est vrai que elle arrivait pas a réviser même les jours précédents son BAC !

C’était pour vous dire que moi c’est pareil (même si je suis qu’en 2nd et que j’ai aucun Bac et que j’ai pas eu besoin de réviser quoi que ce soit pour le brevet tellement c’était déjà dans la poche lol). Enfin bref je trouvais ça beau et authentique.



Commentaire:
Les notes qui précèdent sont d'il y a deux ans.
A présent, c'est à mon tour de passer le BAC... et regardez, c'est dans à peine 12 jours et je ne connais absolument AUCUN chapitre d'histoire ou de Géographie...coeff 4.
Je n'arrive pas à réviser...mais je sais que je vais passer les quelques jours avant le BAC dans mes bouquins de ces deux matières, complètement paniquée...je chiallerais les nuits, je paniquerais la journée, je n'aurais même pas mes nuits habituelles de 4h de sommeil...
Bref, ce sera horrible!

Mais j'aurais mon BAC.

Et maintenant que je ne vise aucune mention, ma conscience est allégée!

N'empêche que: BAC : Les trois premières lettres de l'alphabet...mais qui sont craint par tout lycéen...même et peut être sûrtout les Littéraires!





LE DERNIER ENVOL !


« Voles, voles petit oiseau !
Voles de plus en plus haut !
Toi qui est libre et heureux.
Toi qui me vois si malheureux.
Voles, de tes ailes dans le firmament.
Voles, n’est pas peur du temps.
Toi tu as toute ta vie devant toi.
Moi, je n’en ai plus tant que ça. »


Il était dans sa chambre. La maison était vide…comme souvent. Il a beau être malade, souffrir le martyr, tous s’en moquaient ! Lui qui peine à se déplacer, lui qui a mal lorsque le vent le frappe trop fort, lui qui ne supporte pas l’indifférence, on le laisse seul pendant les vacances, seul pendant les week-ends, seul à toutes heures du jour, seul, sans aide…sans amour.


« Ce que je t’envie ! Toi tu n’as aucun ennui.
La nature a voulu que tu ais des parents, qui pour toi s’inquiètent vraiment.
Ils se sont occupés de toi, d’amour tu ne manquas pas.
Voles vite loin de ma vue, tu possèdes tout ce que j’aurais voulu.
Oui, cher petit volatile, je te jalouse tel un garçon puéril. »


Quel genre de parents ne prendrait pas même soin de leur seul et unique fils ? Quel genre de parent le laisserait seul avec sa maladie ? Quel genre de parents…d’ignobles et indignes parents le pauvre Lionel a hérité ? Lionel depuis des années sait qu’il ne verra pas le bout de ses soucis, du moins jamais dans cette vie. L’espoir n’a plus de place dans le cœur de l’adolescent. L’espoir a à jamais quitté ses yeux innocents.


« D’un coup de tes belles ailes, toi tu peux t’enfuir dans l’immensité du ciel.
Moi je n’ai que mes jambes fébriles qui ne portent qu’à peine mon corps fragile.
Moi, j’ai une porte fermée qui m’empêche toute échappée.Je n’ai que mon imagination pour me permettre quelques évasions.
Ce que j’aurais souhaité naître oiseau, pour pouvoir moi aussi voler si haut ! »


L’oiseau comme pour le narguer vient se poser sur le rebord où Lionel est accoudé.
Le malade le cœur serré l’entend gaiement chanter. C’est difficile pour quelqu’un de profondément malheureux de constater le bonheur d’un autre être que lui. La jalousie ajoute au désespoir.


« Moi aussi, comme toi, je vais voler. Ou alors vais-je tomber ?
Ça n’a pas grande importance, après tout ce sera ma seule chance.
Ma chance de me libérer de ce joug d’handicapé !
Les gens me dévisagent dans la rue, des regards emplis de la pitié qui me tue.
Ou alors, le mépris, l’indifférence, m’ôtant du cœur la joie et l’espérance.
L’espoir en moi s’est envolé. Ma vie de toute façon va s’achever.
Pourquoi devrais-je encore souffrir ? Mieux vaut pour moi la mort, mourir ! »


Lionel en a assez de la solitude. Face à la souffrance il n’a trouvé qu’une solution. Il n’a pas même peur d’être égoïste, personne ne s’en fait pour lui, personne ne s’inquiète de son sort. Les gens sont pleins de préjugés, les gens sont si facilement manipulable. Et les parents de Lionel ont vraiment tout fait pour briser leur unique enfant, à force de mensonges et de mauvais traitements !


« À présent il va me falloir, de l’aide, petit oiseau, de ta part.
Tu dois me montrer le chemin qui ne me conduira jamais à demain.
Enlèves moi des sentiers de la vie, fais moi entrer dans une éternelle nuit !
Accompagnes moi dans ma descentes !
Remontes à temps d’une fin imminente.
Vis encore, petit oiseau, toi, si magnifique, si beau ! »


Lionel, une larme coulant sur sa joue droite, ferme la fenêtre de sa chambre, l’oiseau s’envole.
Il se dirige dans le salon, direction, le balcon.
Il l’ouvre et s’y rend.
C’est sans voix qu’il remarque l’oiseau au plumage azuré, l’attendre, paisiblement. Peut être l’oiseau à t-il compris les paroles de ce garçon poète.
L’adolescent, du moins, l’espère.
Il voit en cet oiseau un compagnon, le dernier compagnon de cette triste vie.
A force d’effort et de volonté, Lionel parvient à enjamber la basse barrière du balcon.
La dernière barrière entre la vie et la mort, entre la douleur et la sérénité.
Un dernier mot est prononcé par le garçon avant l’instant de sauter. Un mot destiné à la seule personne qui rendait sa vie acceptable, agréable.

« Attends moi, Jenny mon cœur. Attends moi chère petite sœur ! »


T H E E N D

Petite Rose.

PETITE ROSE


******


Petite rose
Que j'aime ton odeur !
-
Petite rose
Que j'aime ta senteur !
-
Petite rose
Qui doucement éclore.
-
Petite rose
Bien plus précieuse que l'or !
-
Petite rose
La belle abeille t'effleure !
-Petite rose
Au plus profond de ton cœur
-
Elle prélève le nectar
-Petite rose
Elle reviendra plus tard
-
Petite rose
Avant que tu ne sois fanée !
-
Petite rose
Elle ne voudrait pas te manquer

***

Petite rose
Toi la reine des fleurs
-
Petite rose
Toi qui connaît par cœur
-
Petite rose
L'appel des grands vents
-
Petite rose
Les abeilles et les champs
-
Petite rose
Pourrais tu m'aider ?
-
Petite rose
A tout lui avouer ?
-
Petite rose
Comprends mon désarroi
-
Petite rose
Il se peut qu'elle ne m'aime pas !
-
Petite rose
Laisse toi gentiment cueillir
-
Petite rose
Je ne te ferai pas souffrir !
-
Petite rose
Je t'en prit ne m'en veut pas,
-
Petite rose
Elle ne me laisse pas le choix.
-
Petite rose
J'ai toutes les peines du monde,
-
Petite rose
A entrer dans la ronde.
-
Petite rose
Je sais que jamais je ne pourrai
-
Petite rose
Lui dire ce que j'aimerai.
-
Petite rose
Je t'en pris aide-moi,
-
Petite rose
Toi, sûrement qu'elle t'aimera !
-
Petite rose
Que dois je lui dire ?
-
Petite rose
Devrais je mentir ?
-
Petite rose
Grâce à toi belle fleur,
-
Petite rose
Je lui dirai qu'elle gouverne mon cœur !

***

Petite rose
Il ne faut pas t'inquiéter
-
Petite rose
Tu as eu un long passé.
-
Petite rose
A présent je vais t'enlever
-
Petite rose
De la Terre qui t'as bercé.
-
Petite rose
Pourquoi tu m'as fais ça ?
-
Petite rose
Me piquer comme cela ?
-
Petite rose
Je ne te voulais aucun mal
-
Petite rose
Te cueillir est bien normal.
-
Petite rose
Je croyais que tu m'aiderais
-
Petite rose
A lui dire ce que j'aimerai
-
Petite rose
Qu'elle et moi nous fassions,
-
Petite rose
Ce qu'elle et moi nous devenions.
-
Petite rose
Me serais je trompé ?
-
Petite rose
Comment le vérifier ?
-
Petite rose
Et si elle ne t'aimait pas ?
-
Petite rose
Et si tu la blessais comme moi ?
-
Petite rose
Comment vivrai je encore
-
Petite rose
Si tu es la cause de notre désaccord ?
-
Petite rose
J'ai tellement peur.
-
Petite rose
J'en viens à parler à une fleur.
-
Petite rose
Oublie toute cette discussion
-
Petite rose
Repose toi. Tu n'es pas la solution.
-
Petite rose
Je ne te cueille plus.
-
Petite rose
Ce n'est pas que tu m'ais déplut !
-
Petite rose
C'est que tu dois vivre
-
Petite rose
Mon amour, lui, doit mourir.
-
Petite rose
Car j'ai compris ce soir
-
Petite rose
Que cet amour est illusoire
-
Petite rose
Tu mérites plus de considération
-
Petite rose
Que celle qui me fait perdre la raison.
-
Petite rose
Ne vois tu pas
-
Petite rose
Qu'elle ne m'aime pas ?

***

Petite rose
Je te pris de pardonner
-
Petite rose
Ce que je t'ai fais endurer !
-
Petite rose
Il n'y a plus belle que toi,
-
Petite rose
Même celle qui me met en émoi.
-
Petite rose
Saches qu'elle ne te vaut pas
-
Petite rose
Oublie tout cela.
-
Petite rose
Elle ne m'aime pas
-
Petite rose
Tu n'as pas à vivre ça.
-
Petite rose
Tu es loin de tout problème
-
Petite rose
Tous les jours sont pareils
-
Petite rose
Rien ne varie pour toi
-
Petite rose
Jamais toi tu ne connaîtras
-
Petite rose
La douleur comme moi !
-
Petite rose
L'amour non réciproque
-
Petite rose
Toi tu t'en moques !
-
Petite rose
Tu es belle et ça te va
-
Petite rose
Le malheur, ce n'est pas pour toi.
-
Petite rose
Vis ta vie de fleur
-
Petite rose
Je ne commettrai pas l'erreur
-
Petite rose
De t'enlever à la terre
-
Petite rose
Car ici, tu vivrais l'enfer !
-
Petite rose !



Commentaire:

Le dessin est un petit morceau d'un de mes dessins n'a mouwa...

(cliquez pour le voir en plus grand)

Je le trouvais assez approprié à ce poème-ci!

Une dernière chanson (triste)


Une dernière chanson (triste)

« You're all alone... »
(Tu es toute seule...)

Elle se sentait seule, tellement seule.

« ...You can't carry on... »
(...Tu ne peux pas poursuivre...)

Elle ne pouvait plus continuer ainsi. Elle ne pouvait pas penser à quitter cette Terre. Cet acte serait trop égoïste...cela ne lui ressemblait pas.

« The night is falling »
(La nuit tombe)

Elle ne pouvait pas tout simplement fuir tous ses malheurs comme cela. Ce ne serait pas raisonnable.

« And you are crying ! »
(Et tu es en train de pleurer !)

Comment pourront ils vivrent sans elle ? Comment ses deux enfants vivront sans leur mère ? Les quitter serait impardonnable.

« Can't you see ? »
(Ne vois tu pas ?)

Non, elle ne pouvait décemment pas partir. Condamné à souffrir.

« You're nothing to me »
(Que tu n'es rien pour moi.)

Pourtant, elle aimerait tant...céder à la tentation. Elle aimerait tant ne plus vivre pour les autres, penser à elle-même. Elle aimerait ne plus devoir être raisonnable, lâcher ses responsabilités.

******

« Cry...cry...all the tears of your eyes. »
(Pleures, pleures, toutes les larmes de tes yeux.)

Elle aimerait se retourner et partir en courant, laisser ses larmes couler...comme avant.Mais elle ne peut pas...elle n'y arrive plus...elle n'en a plus : de larmes !

« Remembering all my lies. »
( En te souvenant de tout mes mensonges.)

Elle avait tant souffert. L'amour ne lui a pas sourit. Elle a été trahie !

« I was so good to play with you »
(
C'était si bon de jouer avec toi)

On avait joué avec elle, ses sentiments, son corps, son âme, tout son être. Elle avait tout offert par amour, trop naïve, elle a causé sa perte pour toujours.

« To know that my sweet words weren't true. »
(De savoir que mes doux mots n'étaient pas vrais)

Pourquoi a t-il fallut qu'elle croie à tout ses mensonges? A toutes ses attentions ? a son amour « factice » ?

******

« Babe you're not for me »
(Bébé t'es pas pour moi.)

Elle avait tout abandonnée pour lui: son job, le père de ses gosses, sa maison...sa liberté, sa joie de vivre ainsi que ses pleurs. Un torrent de larmes, une myriade de plaintes. Mais à qui s'en plaindre ? Elle l'avait cherché.

« Babe, you're not for me »
(Bébé t'es pas pour moi.)

Il l'a rejeté après quelques mois. Il en a profité mais à présent le jeu est terminé. Il ira voir ailleurs, jouer avec une autre.

« Close, close your eyes. »
(Ferme, ferme tes yeux.)

Elle voulait juste partir loin, loin, de son souvenir, là où son odeur n'infesterait pas ses draps.Mais...mais elle ne peut pas.

« Imagine the blue sky... »
(Imagine le ciel bleu...)

Elle fait glisser la lame si longtemps contemplée, si ardemment désirée, le long de ses poignets.

« Red, red is the rain. »
(Rouge, rouge est la pluie.)

Et elle sent la peine couler, rouge, rouge sur les draps blancs. Tout son monde s'est envolé, elle ne pense plus qu'à elle à présent.

******

« You are dying inside. »
(Tu te meurs à l'intérieur.)

Elle sent alors le long de ses joues, une larme, une seule larmes, rouler, rouler. Elle la voit perler en venant se mélanger aux larmes rouges déjà versées par son corps.

« Cuz I'm not by your side. »
(Parce que je ne suis pas à tes côtés)

Elle se tourne vers la porte, un dernier espoir encré au Coeur. Elle espère tellement le voir revenir.Qu'importe ce qu'il lui a fait, elle le désir tellement.

« But you know what baby? »
(Mais tu sais quoi bébé?)

Personne ne revient, tout le monde s'en fout. Alors elle fait danser cette lame le long de son corps. Alors elle la fait entailler sa chair au dehors.

« You're not for me, not for me, not for me... »
(Tu n'es pas pour moi, pas pour moi, pas pour moi)

Car en dedans elle est déjà morte et elle sait qu'elle va mourir...comme c'est dit dans la chanson. Cette chanson qui conte si bien son histoire. Cette chanson triste, cette dernière chanson.

« You can cry, you can die...I don't care... »
(Tu peux pleurer, tu peux mourir...je m'en fous...)

Cette chanson aux paroles si directes, aux conséquences si mortelles. Elle fait courir la lame sur sa poitrine. Elle y dessine un cœur, de son sang, de sa chair.

« I don't care, don't care, don't care ! »
(Je m'en fous, je m'en fous, je m'en fous !)

Le cœur achevé, en son centre, elle y plante le poignard qu'elle a un instant aimé plus que son Jeffrey. Et le sang coule, et la musique s'adoucit, l'air s'alourdi, son souffle s'arrête.
Si elle avait attendu, elle aurait pu constater que toutes les chansons ne parlent pas de cette histoire ci...elle aurait pu voir qu'il y a toujours de l'espoir...même s'il est illusoire !

T H E E N D !


Commentaire:

Les paroles et les traductions sont aussi à moi...
Evidemment, la chanson n'est pas en entier dans cette histoire, elle ne l'entends pas en entier...et ce qu'elle entend n'est pas retranscrit dans son intégralité.
Cependant...la chanson ayant été créée exprès pour cette fiction-ci, elle n'est pas entière dans ma tête non plus.
Donc en fait c'est pas vraiment une chanson...mais on fait comme ci.

(cependant, mettez y une voix à la James Blunt, un piano et une guitare acoustique...et ça peut faire un carton... *l'espoir fait vivre*)

Promesse


Promesse
Un jour tu m'as promis
Que nous serons toujours réunis
Que toi et moi ce serait pour la vie
Malgré les risques qu'on a pris
Que rien ne pourrait nous séparer
Même pas une force sous-estimée
Que nous serons toujours liés
Par un amour jamais brisé
Commentaire:
"Les promesses ne valent que pour les idiots qui y croivent" (Mr L., mon prof de philo)
Et je suis bien d'accord avec lui...pour ça aussi...comme pour le reste... (genre "l'histoire d'une vie est toujours l'histoire d'un échec")
Juste pour info, c'est le dernier de la série de petits poèmes... (ou le premier, selon le sens de votre lecture^^)

Ton départ


Ton départ

Quand je le vois
Loin de moi
Je sens toute l'eau de mon corps
S'échapper au dehors

Par mes yeux
Qui t'avaient rendu heureux
Quand au loin tu t'es enfui
Avec cette fille si jolie


Commentaire:

Saleté de nature primitive en l'homme...
Je me comprends... Ô Rousseau, que ta volonté soit faite!

Toi


Toi

Toi que mon coeur a choisi

Toi avec qui je suis réuni

Tu m'a réappris à rire

Tu m'a réappris à vivre

Tu as su m'écouter

Tu as su me flatter

Toi qui m'a libérée

Toi que j'ai tant aimé

Commentaire:

Y a t-il vraiment besoin de commenter?
Seulement ce 'Toi' n'est pas obligatoirement un amour passé (ou même présent)... je me rends compte que ça peut être une amie...ou plusieurs...qui ont agi comme d'un commun accord pour nous rendre à la vie!

Peur de l'Amour


Peur de l'Amour

Quand je te vois au loin............
............Passer le long du chemin
Je change de trottoir............
............Pour que tu ne puisses me voir
Je te fuis comme la peste............
............Comme je fuis l'amour d'Est en Ouest
Tout le monde cherche l'âme soeur............
............Moi aujourd'hui encore je la pleure
Depuis qu'elle m'a tué............
............Lorsqu'elle m'a quittée
Je ne veux plus faire cette erreur............
............Pour ne plus verser tant de pleurs.
______________________________
Commentaire:
Combien sont ceux qui ont peur de tomber à nouveau amoureux, peur de se brûler à la flamme de la passion, peur de tomber du nuage qu'ils auraient partagés avec un autre, peur de se blesser fatalement, de se dévoiler, d'être heureux?

Injustice de l'amour


Injustice de l'amour
.......................
Je t'ai cherché durant des années
.......................
Je t'ai enfin trouvé et tu m'as fait pleurer
.......................
Pourquoi il a fallut qu'un jour
.......................
Ton visage se grave en moi pour toujours
.......................
Pourquoi il a fallut un jour
.......................
Que tu partes à son secours
.......................
Que tu la regardes dans les yeux
.......................
Et que tu tombes amoureux?
____________________________
Commentaire:
C'était un de mes préférés.
Ca l'est toujours d'ailleurs...
Ce qui est bien avec ce genre de poèmes c'est qu'ils sont vrais en tout temps!

Je crains que ce jour n'arrive

Je crains que ce jour n'arrive

Un jour tu me diras
Que tu ne penses plus a moi
Ce jour là je ne supporterai pas
De la revoir avec toi
Je ne pourrais pas admettre
Qu'elle m'ait enlevé ma raison d'être
Ce jour là je ne pourrai plus
Vivre dans ce monde inconnu
Je ne saurais pas t'oublier
Même si je passais de l'autre coté
____________________________

Commentaire:

Je crains que ce jour n'arrive...
Mais encore faudrait-il que la situation qui pousse à craindre un tel jour s'installe...
Mais je me comprends!

Indifférence

Indifférence
Quand je te vois
Avec une fille autre que moi
Je n'ai pas le courage
De te cacher ma rage
Tu m'as tant mise de côté
Que je ne peux plus le supporter
J'ai l'impression d'être invisible
A tes yeux seulement comment est-ce possible?
Mes sentiments pour toi
Ne changeront pas crois moi
Tu es le seul homme en qui j'ai confiance
Malgré ton indifférence
________________________
Commentaire:
A croire qu'en fait je suis devin...grrrr j'aimerais n'avoir jamais écrit ce poème!
Quoi que cette fois-ci, je pense que gamine déjà je savais additionner 2 et 2 ensemble... (comprendra qui pourra!)

Doutes

Doutes

Je ne suis plus vraiment certaine
Que ton amour soit réel
Que la flamme qui illuminait ton coeur
N'ai pas été éteinte par tes pleurs
Que tu m'aimes autant
Que tu m'aimais auparavant



Commentaire:

La première personne qui dit que c'est court... je lui répondrais par une autre évidence absurde!

Amour déclinant

Amour déclinant

Quand tu m'as demandé
Pourquoi j'étais en train de pleurer
Je t'ai répondu
Que je savais que tu ne m'aimais plus
Ca ne m'étonnait pas
Tu n'étais jamais la
Tu ne t'occupais que de ta personne
Et me prenais pour ta bonne
Tu nous croyais déjà marier
Alors que nous n'étions même pas fiancé
Tu m'as fais regretter
De t'avoir un jour aimé
_______________________

Commentaire:

A moins de 10 ans, je ne pense pas que je parlais d'expérience...en tout cas j'étais perspicace(however you spell it)!

Sans toi !

Sans toi !

Si tu venais à disparaître
Je n'aurai plus aucune raison d'être
Je mourai sans remords
Si ça pouvait empêcher ta mort
Sans toi la vie
N'est qu'un vide infini
Dans ce vide seront réunis
Le désespoir et l'ennui
Personne ne peut y aller
Sans l'aide d'un allié
Mais pour toi je ferai l'impossible
Même si pour cela je devais servir de cible
Pour moi la vie n'est que remords
Si je te sais mort
Sans toi la vie sur terre
N'est qu'un pur enfer.
______________________________________
Commentaire:
Là vous vous dîtes peut être que ce poème et celui du dessous ont une fin assez similaire... La raison est celle-ci:
Ce poème est mon tout premier poème ever! Le tout, tout premier.
C'était entre le CE2 et le CM1!
Je m'en rappelle encore.
J'avais peur qu'on tombe dessus, mais je voulais le garder absolument! Alors je l'ai caché dans un gros livre.

Je ne l'ai ressorti qu'1, 2 ans plus tard, ma soeur et sa copine (6ans de plus que moi les deux) essayaient d'écrire des poèmes... alors j'ai ressorti le mien pour leur montrer...
Je crois que j'ai dû rougir plusieurs minutes à leurs réactions...

Du coup, j'ai fais la série de courts poèmes que vous avez soit déjà lu, soit que vous allez lire tout de suite (ça dépent de votre sens de lecture de mon blog^^)
Donc pour revenir à mes propres premiers, s'il y a similitude c'est que ce poème est tout de même à la base de toute ma créaction poétique, littéraire et même artistique.
Je crois...non je sais, que si je n'avais pas commencé avec ce poème (ma foi plutôt potable, non?) je ne serais pas aujourd'hui en Terminale L...mais en S (Mon Dieu quelle horreur!)...

Toi Qui Me Hantes...

Toi Qui Me Hantes...
J'aime à te sentir près de moi.
Sur mon visage sentir tes doigts,
Et ton souffle, chaud, dans le creux de mon cou,
Et tes lèvres qui m'envahissent; leur goût.
Mais lorsque tu pars au loin,
Me laissant seule dans mon coin,
Je me sens désespérée,
Dans le cœur une douleur insensée.
Pourquoi je t'aime autant,
Toi, qui en est inconscient,
Et qui ne m'apparaissait
Que lorsque je rêvais;
Seulement dans chaque songe
Dans lesquels je me plonge ?
Pourquoi es-tu l'air que je respire ?
Pourquoi suis-je si impuissante
Face aux sentiments qui me transcendent ?
Je n'en sais pas plus qu'avant
Sauf que je t'aime infiniment,
Et que cela me fait souffrir
Que cela m'empêche de vivre,
Car une vie sans toi,
Sans te sentir près de moi,
Si je dois la passer sur Terre,
Sera pire même que l'enfer.
____________________________
Commentaire:
Ceci est un peu plus récent que les précédents...
Je ne sais si cela se ressent...
C'est bête, mais chaque fois que je relis ce poème ces derniers temps...je l'adresse réellement à une personne...tout en sachant que le béguin d'adolescente que je ressens n'est pas ce type d'amour inconditionnel!
Mais qu'importe, puisqu'à ses côtés je me sens vivante!

L'amour Triomphe Toujours

L'amour Triomphe Toujours
Sa voix m'attire!
Je ne peux dire
Pourquoi tout cela m'arrive,
Mais sur cette rive,
Lorsque d'une voix claire
Il chanta cet air,
Mon coeur d'un coup s'enflamma,
Remplis d'une immense joie.
Il dit mon nom,
Et d'un seul bond
Je saute dans ses bras
Pour lui dire tout bas,
Que je n'imagine pas une vie
Sans un homme beau, grand tel que lui.
Je ne supporterais pas même un seul jour sans lui.
Je préférais ne jamais avoir été en vie,
Si il n'accepte vraiment pas
De passer son temps avec moi!
Rien ne me retiendra plus,
Pas même une grande grue,
Je partirais sur les chemins,
N'attendant que les lendemains,
Pour voir quand le monde,
Si cruel et immonde,
Ne me portera plus sur lui.
Je ne vivrais plus j'aurais fuis!
___________________________

Commentaire:

Ca se passe de commentaire, hein?...
Pour ma défense je dirais que j'étais jeune et insouciante...et euh, je m'amusais sur le rythme... Ce poème ne peut sonner acceptable que lu à voix haute (à voix haute dans sa tête, ça marche aussi...chui douée pour ça^^)

Mon Rêve (+ Réalisation)




Mon Rêve

Il n'y a rien a faire,
Rien à comprendre.
C'est pire que l'enfer
Car tu ne peut pas m'apprendre,
Ce qu'est l'amour,
Ce qu'est l'humour.
Ce que c'est que d'être humain,
Ce que c'est que d etre bien.
Ce qu'est la bonté,
Ce qu'est la beauté.
Ce que c'est que d'être vivant,
Ce que c'est que d'être aimant.
Ce qu'est la vérité,
Ce qu'est la liberté.
Ce que c'est que d'être là,
Ce que c'est que d'être avec toi.
Ce que sont les sentiments.
Ce que sont les amusements.
Ce que c'est que de penser,
Ce que c'est que de rêver.
Même si je rêve souvent de toi,
Mon rêve serait de rêve avec toi,
Et que pour l'éternité
Nous arrêtions de rêver
Pour enfin tout réaliser.

Commentaire:

Un poème assez ancien. Qui, je ne le pensais pas, mais à toujours plut aux gens à qui je l'ai fais lire. Comme quoi les choses simples sont les plus appréciés^^
Je crois que je l'ai écris en 6ème maximum... *souvenirs, souvenirs*

************************
Réalisation

Il m'a appris tant de choses
Il m'a introduit à un monde nouveau
Loin d'être un univers morose
Il a su le rendre beau!
Avec un humour sophistiqué
Et une passion à peine voilé
Un sourire toujours dessiné
A ces lèvres tant désirées
Parfois ses yeux ne riaient pas
Colère, exaspération, lassitude et embarras
Que faire avec des gamins de ce niveau là
Comment parvenir à quoi que ce soit?
Mais toujours avec moi, regard adouci
Lueur d'espoir nourissant mes fantaisies
Il a su m'apprendre tant de choses
Par sa voix ou ses écrits de proses
Qu'est ce que l'amour demandais-je?
Il a su me l'apprendre, cet ange.
La bonté, la liberté, le bonheur
Autant de notions que je connais par coeur
La beauté, la pensée, les sentiments
On est toujours pleins dedans.
Seulement il ne me l'a pas enseigné qu'à moi
Simple élève de Philosophie
Simple élève que je suis!

____________________________

Commentaire:

Un poème écrit en 2min, après une réalisation qui s'est imposée à moi en relisant le premier poème.
Question à moi même pour dans quelques années : Que te reste t-il de lui, Orlina, que te reste t-il d'ALP?
Pour comprendre, encore vous aurait-il fallut me connaître!

Les Terres Immortelles

Les Terres Immortelles

Toute ma vie durant
J'ai cherché ce lieu
Où l'on se sent vivant,
Où l'on ne devient jamais vieux.
Ce lieu où je serai quelqu'un,
Mes talents y seront apprécies,
Je n'écrirai plus en vain
Et mes défauts seront tous oubliés.
Lorsque je le trouverai,
Je serai si soulagee...
Mon coeur trouvera la paix
Sur cette belle île dorée.
Mais si je ne trouvais pas,
Ces fameuses terres immortelles,
L'amitié non plus je ne la trouverais pas,
Et le bonheur pour moi sera toujours un mystère

☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
Ce lieu je l'ai trouvé,
Il y a de cela une année,
J'y aie découvert l'Amitié.
Ce lieu j'y vais encore,
Et lorsque j'en ressors,
Mon cœur se sent plus fort.
Il est prêt à tout affronter.
Absolument tous les dangers.
Mais pas sans saigner,
Car lorsque ce lieu fut détruit,
Par un con, un ahuri,
J'ai pleuré jour et nuit.
Mais plus forte j'en suis ressortis
Car mes amitiés ont grandis.
J'ai mieux connu de superbes filles,
J'y ai même rencontré mon ange,
Celle à côté de qui toujours je me range.
Que dire de plus ?
Elle est mon ange...
Ma déesse, mon idole,
De ses ailes, elle s'envole.
Pour veiller du côté de mon pôle,
Toujours s'assurer que je suis bien
Car mon bonheur est sien,
Et puis ma vie lui appartient !
Que ferai-je sans elle ?
Sans ma toute belle ?
Sans mon ange gardienne ?
_______________________________




Commentaire:

Le poème a été écrit il y a de cela 2 ans.
Il parle de l'Ile de Valinor, un groupe MSN, qui a été détruite par deux fois, qui a brillament survécu à ces deux destructions... Mais qui n'a pas survécu à de simples vacances.
Allez chercher l'erreur!

L'erreur qui détruit des amitiés!

Depuis, maso comme je suis, je suis toujours au poste, et à chaque regain de vie passager de l'île, la bonne petite Nienna (=Orlina =Moi) est là, prête à mettre toute son énergie dans le maintient de cette petite flamme de vie.
Mais chaque fois c'est une nouvelle déception.


Je m'en fiche...l'île ne renaîtra jamais plus de ses cendres...c'est comme dans l'une de mes histoires (ce passage n'y est pas encore publié^^) où un Phénix fini par mourir...
Au moins, le phénix dans mon histoire meurt noblement...en sauvant sa 'maîtresse'.


Je fais tout pour qu'elle meurt noblement...avec des gens encore là pour se battre de temps à autres...



Je vous hais.

Je Vous Hais!
Je hais tout de vous :
Vos messages idiots, vos poèmes de fous.
Vous vous prenez pour ma famille,
Alors que nous ne sommes même pas amies.
Je hais tout de votre univers
Pleins de malheurs, de calvaires.
Vous pensez etre "ROIS"
D'un monde qui ne vous appartient pas,J
e hais tout de ça...
Mais bien plus que tout,
Plus que je ne hais chacune de vous,
Je me hais d avoir écris ça.
Sans rien en penser du tout.
J'aimerais vous haïr,
Ne plus me sentir attirée et aime
Ne plus voir l'île comme une terre d'asile.
Ne plus vous voir comme une partie de mon âme.
J'aurais souhaite ne jamais vous avoir laisse
L'accès a mon coeur, car si l'une voulait en sortir elle devrait le briser
En laissant une plaie qui ne cautérisera jamais.
J'aimerais pouvoir dire que je ne pense jamais a vous
Que vous n'etes rien a mes yeux...
Mais pour savoir ce que vous etes a mon égard
Relisez le début de ce poème
Car dans mon cœur je pense tout le contraire
_______________________________________
Commentaire:
C'est vrai... la plaie n'a pas encore cautérisé... et je ne pense pas qu'elle le fera jamais, même si d'autres amitiés mettent du baume sur les blessures qu'on laissées les précédantes.

J'aimerais Que Vous Sachiez !

J'aimerais Que Vous Sachiez !

Pour vous j'ai pris un petit cahier,
Même s'il n'est pas approprié
A tout ce que je voudrais vous faire partager.

J'aimerai que par ce que j'écris vous soyez emmerveillees,

Que tout ce qu'il y a dans mon coeur
Vous soit transmis par vos yeux;
Que de mes bonheurs et malheurs...
...Je veux que vous sachiez tout d'eux.
J'aimerai aussi que vous soyez les seules
A connaître le moindre de mes secrets,
Que nous soyons comme des soeurs
Sans pour autant nous chamailler.
Je veux qu'à jamais vous sachiez,
Que sur mon amitié vous pourrez toujours compter.
Que mon appui sur tout ce que vous traverserez,
Sur mes larmes lorsque vous pleurerez,
Sur mon sourire pour vous consoler,
Sur mes poèmes pour vous récompenser,
Sur ma vie qui vous est consacrée,
Car pour moi, vous seules comptez
Commentaire:
C'est à peu près le même commentaire que précédement...
Seulement le poème, à l'origine, était dédié à des filles en particulier...celle de l'Île...il s'est élargi à d'autres et réduit aussi par certains aspects...
Enfin je me comprends...

Des Amies Pour La Vie.



Des Amies Pour La Vie.

Je fais souvent ce rêve
D'une amie que j aime.
Je connais tout d'elle
Et elle de moi,
Cependant, je ne la connais pas.
Une sensation étrange s'empare de moi
Lorsque dans mon rêve elle apparue une fois.
Je ne connais ni son visage, ni sa voix,
Ni son parfum, ni rien de tout ça.
Pourtant je connais ses pensées,
Son coeur et son âme,
Elle me l'a révéléeJ e ne sais quand ni comment,
Elle me l'a révélée
Comme son caractère,
Elle me l'a révélée
Et m'a écouté.
Nous sommes amies sans nous être rencontrées,
Mais je sais que je compte sur elle
Pour ne jamais m'abandonner,
Comme je sais que jamais elle ne m'oubliera.
Si ce rêve dure une vieJe ne m'en plaindrais pas !
Si ce rêve se reproduit,Je serais pleine de joies !
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
Ce poème je l'adresse a vous toutes, vous, qui compte tant pour moi.
Vous qui m'apportez une amitié si profonde
Qui me transporte dans un monde de rires et de joies.
Et malgré la distance vous savez tout de moi,
J' avoue pas encore mais croyez moi ça viendra :
Contentons nous d'aligner un a un nos pas,
Ça nous mènera plus loin que toutes les navettes
Car main dans la main nous sommes heureuses d'être
DES AMIES POUR LA VIE!!
_________________________________

Commentaire:

J'ai écris ce poème il y a presque 3 ans...
Et regardez, encore aujourd'hui, il est plus que vrai. Seulement les personnes concernées ne sont pas exactement les mêmes.
Des liens se sont rompus, d'autres se sont crées ou renforcés, c'est ainsi que cela doit être...

Vie Brisée


Vie Brisée



Je ne sais pas trop quoi dire... pour l’instant je vais laisser mes doigts danser sur le clavier comme ils aiment tant le faire.

Je vais les laisser dépeindre mon cœur et l’état de mes yeux, qui, noisettes, qui, rouges, ne savent plus voir ce qu’il y a devant eux.

Je vais essayer d’expliquer, aux autres comme à moi-même, ce qui m’a poussé à prendre cette décision. Je vais tous vous raconter l’histoire de ma vie : une vie brisée !

Une vie brisée par l’incompréhension des gens, par leur capacité à juger, à condamner, un être qui n’avait pourtant jamais demandé a être né...

Toute ma vie durant, j’ai du lutter contre le regard des gens, contre cette haine, cette pitié, cette colère, cette indifférence, toutes ces choses qui me rongeant peu à peu on fini par faire un trou en moi à l’endroit ou se trouvait mon âme.

Suis-je si différente des autres filles ?... N’ai-je pas deux jambes, deux bras, un visage, un tronc, la capacité de parler, de penser, d’écouter.

Mais pire que tout, n’ai-je pas un cœur ? Des yeux pour pleurer ? Du sang qui peut couler ?

Ce soir je vais leur prouver que si... si, j’étais une fille comme les autres... ce sont eux qui m’ont pervertie, ce sont eux qui m’ont brisée, détruite, réduite à l’état de débris sur ce monde sans pitié.
Ce soir j’ai pleuré, j’ai crié ma rage au monde entier, ce soir, je leur montre que j’ai un cœur...et qu’il a été ma perte.

Ce soir je vais leur montrer que mon sang, tout comme mes larmes peuvent couler en un torrent douloureux et impétueux.

Oui, ce soir, je vais le leur montrer, même si je ne serais plus pour savoir s’ils auront compris que c’est par leur faute que ma vie a été brisée.

Mon cœur... ma perte... ma condamnation à perpétuité... un amour pour une fille. Mon amour pour une femme. Il avait fallut qu’elle soit femme, que je le sois aussi. Il avait fallut que je sois adolescente et qu’elle soit adulte aguerrie.

Il avait fallut qu’elle soit libre, et que je sois captive.

Captive d’un mot, d’un état d’esprit...
Captive du mot : Intolérance.
Captive du mot : Vie.

Il a fallut que vous soyez là, que vous soyez mon univers, et que reniant tout cela vous m’ayez laissée sans rien.

Alors quitte à ne rien avoir... laissez moi rejoindre le néant... laissez moi mourir... maintenant !

Commentaire:

Je précise toujours que ce n'est pas autobiographique...
Enfin...

J'ai voulu commencer par ce texte...je ne sais pas trop quelles étranges raisons ont animé ce choix, mais c'est le cas.
Il a plus d'un an ce texte. Mais c'est un des plus récents malgré tout.
J'ai pas été très productive récemment...

Saturday, May 27, 2006

Présentation...

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.....o.*Terre d'Asile*.o
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Ma Terre D'Asile
Bonjour petit égaré.
Si tu te retrouves ici par mes soins...je m'en excuse!
Si tu es là par hasard, il n'est toujours pas trop tard pour faire machine arrière!
Mais plus sérieusement, ici seront publié mes poèmes...
Pas des grandes oeuvres qui en valent réellement le coup,
Juste ce que mon esprit peut sortir comme connerie...
Mais de zoulies conneries...
Je voudrais juste que ce soit clair avant de continuer...
Si vous pouviez éviter de plagier ce qui pourrait se trouver ici...
Pas qu'il y ait quoi que ce soit à plagier...
Mais tout de même!
Si le cas où ce que je fais vous plaît arrivait,
Si vous vouliez me "piquer" un poème,
Quoi de mieux que de me le piquer avec mon accord?
Les textes que vous verrez défiler,
Qu'ils soient poèmes où textes en proses,
Ne reflètent pas toujours de ma personalité propre.
Ceux qui sont autobiographique, ce sont simplement ceux que je dédis à quelqu'un.
Quelqu'un de spécial à chaque fois!
Alors non, je ne suis pas une adolescente suicidaire,
Même si c'est vrai...
...Je suis une adolescente!
Et non! Je n'ai pas eu que des expériences foireuses en amour.
Mettez cette phrase au singulier, vous aurez la vérité.
Ou alors arrêter la phrase après 'expériences'...
Au choix!
Le fait est que certains de mes poèmes traitant d'amour,
Ont été écrits à l'école primaire...
Vous voyez le tableau...en primaire quoi! CM1/CM2 -_-'
Le fait est que ces poèmes ne sont pas plus d'une quinzaine.
Ca vous rassure, hein?...
Manquerez plus que je vous montre mes dessins de maternel sur mon autre blog!
(Tiens, ça c'est une idée...si seulement j'avais autre chose qu'un gros tableau qui ne se scanne pas!)
Je ne fais pas tant ce Blog pour que le tout venant me lise,
Que pour pouvoir présenter plus zoliment ce qui a déjà été lu.
Ce qui a même été reviewé par certaines personnes...
Enfin pas énormément mais tout de même !
Last Thing :
ENJOY
!!!
!